Le second épisode de la série Arrow vient d’être diffusé sur la chaîne américaine CW !
Un nouvel épisode tout aussi bon que le premier avec de l’action et du suspense et surtout on retrouve déjà un ennemi à la hauteur du Grenn Arrow !
Au programme de cet épisode 2 saison 1 intitulé Honor Thy Father, alors qu’Oliver se dirige vers le palais de justice pour obtenir son certificat de décès abrogé , il est agréablement surpris de se heurter à Laurel qui est là poursuites Martin Somers, un criminel ayant des liens avec la triade chinoise. Oliver reconnaît nom de Martin du livre de son père et fixe son dévolu sur lui de prendre vers le bas.
Martin commande la Triade de «prendre soin de» Laurel afin qu’ils envoient leurs mercenaires et notamment la fameuse China White après elle, un acte qui aboutit à une bataille entre la China White et Green Arrow.
Pendant ce temps, Moira et Walter demandent à Oliver Queen de reprendre la société.
Avez-vous vu ce nouvel épisode ? Donnez-nous vos réactions à chaud !
Très bonne série en devenir.
De bons acteurs, un bon scénario, et une bonne réalisation.
Pour ce qui est de l’épisode, on avance un peu dans l’intrigue, avec un rapprochement pour ce qui est du couple qui va probablement occuper une bonne partie de la série, et on devine le devenir du garde du corps, qui va probablement se muer en un Alfred a la batman pour notre Archer.
Et j’aime beaucoup l’actrice qui joue la soeur de l’archer, elle va jouer aussi jouer un rôle important.
Voilà 🙂
J’ai l’habitude de regarder un grand nombre de séries. Pour beaucoup, je n’ai pas l’indulgence de laisser passer les scènes téléphonées, les lourdeurs, les longueurs, les jeux d’acteurs médiocres, le ton trop adolescent… et j’en passe. Je suis TRÈS TRÈS heureusement surprise par Arrow. Le jeu des acteurs et très bon, Stephen Amell est très juste et modéré dans son jeu, ce qui est assez inédit pour un film d’action. Au contraire des précédents Green Arrow, point de déguisement kitsch en vert leprechaun, mais une simple cape à capuche renforçant l’effet mauvais garçon (limite veste de sport à capuche façon gangsta). Pleins de détails de scénarisation m’ont enchanté, parfois sur des broutilles, comme cette scène du premier épisode où Oliver, se relevant d’un évanouissement après avoir reçu une balle, ne fait que regarder cette dernière, nous laissant comprendre la présence d’un gilet par-balle. Cela m’agace toujours, dans les autres séries, lorsque le héros, touché, arrache sa chemise pour laisser apparaître le gilet afin que le téléspectateur comprenne bien. A vrai dire, je hais quand les producteurs prennent les téléspectateurs pour des imbéciles. Ce n’est pas le cas de la série Arrow : les scènes d’actions sont époustouflantes, les cascades à la Yamakasi donnent un plus et un rythme d’enfer, le casting est parfait, la scénarisation intelligente et le suspense bien géré. Un peu « Robin des bois », beaucoup « Batman », un soupçon « seul au monde » ou « Robinson Crusoe », un poil « Lost », presque « Affaire pélican » par moment, mais en ne prenant que le meilleur de tous cela. Cette série, dont il faut avouer que je n’attendais rien de bon après ma désagréable expérience de « The cape » l’an dernier (série ridicule, mal jouée, pitoyable, grotesque, kitsch et pathétique dont l’arrêt fut un soulagement), m’a sidéré pour sa qualité globale. En eux mots « encore, encore ».